Éditorial
Je reviens tout juste du Cambodge et me voici dans la mise en page du Cueilleur-Culteur.
Le voyage avait bien débuté par un cadeau des le premier soir : deux livres sur les plantes sauvages locales et leur utilisation culinaire.
Je reviens tout juste du Cambodge et me voici dans la mise en page du Cueilleur-Culteur.
Le voyage avait bien débuté par un cadeau des le premier soir : deux livres sur les plantes sauvages locales et leur utilisation culinaire.
Je vous souhaite une bonne lecture et j’attends vos retours et commençons à penser au suivant pour février !
Bonjour, j’ai découvert le Cueilleur-culteur grâce à Tela botanica ; j’ai beaucoup aimé, alors je m’y suis abonnée, après en avoir lu les premiers numéros sur le net.
Tout d’abord, un grand merci pour tout ce travail.
Il faut s’équiper un minimum pour faire son purin.
Procurez-vous une poubelle en plastique ou un tonneau en plastique avec un couvercle de grande contenance au minimum de 50 litres (évitez le métal) en raison d’un risque d’oxydation et le bois risque de fuir à la longue).
Il vous faudra également des gants et des cisailles ou encore de bons ciseaux.
Il vaut mieux faire une grande quantité de purin dans un grand contenant que faire plusieurs petits seaux.
Salut, les lecteurs du cueilleur.
Ce numéro est un numéro double … pas par sa taille mais parce qu’il intègre ma défection d’octobre.
En effet pour le numéro 10, chargé par la mise en page de l’autre revue dont je suis le G.O., l’Ostéo4pattes, avec son numéro mensuel, son hors-série et l’agenda, j’étais un peu noyé.
Enfant, pour moi les plantes sauvages c’était ces adventices que je devais sarcler, sarcler, sarcler, chaque fois que je n’avais pas été sage.
Des punitions interminables …
Décidément, l’actualité nous fait faire le grand écart.
Avec des nouvelles de plus en plus pressantes sur la raréfaction des espèces d’insectes, d’oiseaux ou de mammifères à une vitesse incroyable.
Les nouvelles sur les pesticides de plus en plus glauques et pourtant qui n’empêchent pas les lobbies de gagner la mise chez nos politiques.
Quand j’ai envie de me faire une idée de vers où court notre société, je regarde le site du journal le Monde.
Pourtant depuis quelques mois je constate que la façon de présenter les sujets qui me tiennent à cœur a muté vers une allégeance à une pensée lobbyiste qui ne me plaît guère.
Je suis officiellement cancérigène, je me retrouve en quantité dans votre sang, je suis en dose non négligeable dans toutes les pluies;
En septembre, aux premières rencontres du Cueilleur-Culteur nous étions un petit comité.
Mais l’ambiance fut tellement sympa que nous avons décidé de transformer cet événement que je pensais au départ annuel en une rencontre trimestrielle.
Ce qui permettra de suivre les saisons avec chacune ses trouvailles de plantes et ses préoccupations d’observateur/gardien de son environnement et de sa complexité écologique.
Les prochaines sont donc le 3 décembre … A vous de jouer !
Dimanche prochain, le 24 septembre à la ferme (Montjoie, Ariège), nous organisons une journée pour échanger et partager.
Chacun étant invité à présenter aux autres ce qui lui semble important dans la cueillette sauvage et la sauvegarde de la complexité naturelle autour de soi.
Je vous souhaite une bonne lecture et j’attends vos retours et commençons à penser au N°4 pour Juin !
Je vous souhaite une bonne lecture et j’attends vos retours et nous commençons à penser au N°3 pour Avril !!