
Ce texte est publié en partenariat avec la revue numérique « La pensée écologique », dirigée par Dominique Bourg.
Il s’agit d’un extrait d’un texte consacré à la permaculture.
Née en Australie dans les années 1970, la permaculture s’est diffusée dans le monde entier.
Si son audience est longtemps restée confidentielle, elle suscite désormais un intérêt croissant.
Dans les pays développés, elle touchera un public éduqué de plus en plus inquiet des impacts d’un modèle économique fondé sur la surconsommation d’énergie et de ressources naturelles.
Dans les pays en développement, elle est considérée comme une voie fructueuse pour les agricultures familiales refusant de se glisser dans le modèle technique que la révolution verte a cherché à leur imposer.
L’expansion de son public s’est accompagnée d’une extension de son champ d’application.
RETOUR A LA TERRE
En 1978, le texte fondateur de la permaculture la définissait comme visant à constituer « un système intégré et évolutif d’espèces animales et végétales pérennes utiles à l’homme ».
En 2002, la définition englobait plus largement les aménagements humains, tout en maintenant une dimension agricole : « Des paysages conçus consciemment qui imitent les modèles et les relations trouvés dans la nature, tout en produisant une abondance de nourriture, de matériaux et d’énergie pour répondre aux besoins locaux ».
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Et pour terminer je vous propose cette vidéo La Ferme de Terre
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J’étais loin de m’imaginer que son origine était l’Australie
Et oui.
J’aurai opté pour les amérindiens… Va savoir pourquoi.
Oui Éric ça pouvait se tenir.
A reblogué ceci sur Alessandria today.